Voici un article intéressant très synthétique et très bien rédigé par Virginie Leblanc que j'ai découvert sur le site de 
l'étudiant:
l'étudiant:"Première région économique française après l’Ile-de-France, la région Rhône-Alpes arrive en deuxième position pour le nombre d'étudiants, avec 230 800. Elle accueille 9 universités et de nombreuses grandes écoles et instituts. Ajoutez à cela la diversité et l’excellence des formations proposées : pour les étudiants son attractivité est certaine.
Avec 11 pôles de compétitivité labellisés, dont 3 internationaux (Biopôle, Minalogic et Imaginove), c’est la région Rhône-Alpes qui en accueille le plus grand nombre dans l’Hexagone avec l’Ile-de-France. Et ce n’est pas un hasard : Grenoble et Lyon sont réputées pour favoriser la synergie entre enseignement, recherche et industrie. Au-delà de l’essor de la filière électronique-numérique, des nouveaux matériaux, des industries liées à la santé ou utilisatrices des biotechnologies, la région est riche d’activités industrielles diversifiées.
Autant de développements qu’accompagne l’enseignement supérieur rhônalpin, autour de programmes résolument tournés vers l’international, les technologies innovantes, comme les micro et nanotechnologies, et la recherche. Avec quelques pôles majeurs : les sciences de la vie et de la santé, les sciences humaines et sociales pour Lyon, les sciences de l'ingénieur, la physique et les matériaux, l’astrophysique, l’environnement, l’informatique et les sciences de l'ingénieur pour Grenoble.
L’offre en matière de grandes écoles
La région compte une trentaine de grandes écoles (selon la Conférences des grandes écoles), dont quatre écoles supérieures de commerce. Pour les écoles d’ingénieurs qui recrutent principalement après une prépa, Lyon est une destination à privilégier, avec entre autres l’Ecole centrale de Lyon, CPE Lyon (Ecole supérieure de chimie-physique-électronique de Lyon), l’ENTPE (Ecole nationale des travaux publics de l'Etat), l’ITECH (Institut textile et chimique de Lyon)… N’oubliez pas pour autant l’ENSMSE (Ecole nationale supérieure des mines de Saint-Etienne) ni les 9 écoles de l’INPG (Institut national polytechnique de Grenoble), qui fédère en outre un département télécommunications, un cycle préparatoire polytechnique, 26 laboratoires de recherche, 8 fédérations de recherche, un collège doctoral en sciences de l’ingénieur et un département de formation continue. L’INPG propose un nouveau master européen, Nanotech, créé en partenariat avec l’EPFL (Ecole polytechnique fédérale de Lausanne) et le Politecnico de Turin.
Parmi les écoles d’ingénieurs qui recrutent après le bac, l'INSA (Institut national des sciences appliquées) de Lyon est pluridisciplinaire et particulièrement coté. A signaler : sa filière génie mécanique procédés plasturgie (GMPP), qui fait suite à l'intégration de l'ESP (Ecole supérieure de plasturgie) d'Oyonnax.Vous pouvez aussi intégrer l’ISARA (Institut supérieur d’agriculture et d’agroalimentaire Rhône-Alpes), l'ECAM Lyon (Ecole catholique d’arts et métiers de Lyon) ou encore l’ENISE (Ecole nationale d’ingénieurs de Saint-Etienne).
Pour les écoles de commerce qui recrutent surtout après une prépa, Lyon est également une très bonne destination, avec l’EM Lyon (Ecole de management de Lyon), qui rivalise avec les grandes parisiennes. Mais vous pouvez opter pour Grenoble école de management, l’ESC Chambéry (qui accueille aussi des sportifs de haut niveau dans son Centre d'études des sportifs de niveau international) ou encore l’ESC Saint-Etienne. Par ailleurs, de multiples écoles recrutent après le bac, notamment à Lyon : l’ESCE Lyon (banque d’épreuves Sésame), l’IFAG Lyon, l’ECE Lyon, l’ESDES Lyon, le CEFAM Lyon, l’EICD 3A Lyon (axée sur l’humanitaire), l’IDRAC Lyon, l’ICL, l’ISTL, l’ECEMA…
Deux IEP
Il y a deux instituts d’études politiques (IEP) dans la région : l’un à Lyon (1.400 étudiants) et l’autre à Grenoble (1.500 étudiants). Pour intégrer le premier, il faut passer un concours commun à six IEP (Aix, Lyon, Strasbourg, Lille, Rennes et Toulouse). Le second fait cavalier seul.
L’offre en matière d’universités
Les étudiants qui ont choisi la fac se répartissent entre 9 universités, 5 pour l’académie de Lyon, 4 pour celle de Grenoble.L'université Claude-Bernard-Lyon 1 (32.200 étudiants) couvre l'ensemble des disciplines de science et de santé. Deux IUT y sont rattachés (Villeurbanne et Bourg-en-Bresse). L’université Lumière-Lyon 2 (27.800 étudiants) est quant à elle plutôt orientée vers des formations en sciences humaines et sociales, lettres, langues, sciences juridiques, sciences politiques, sciences économiques et gestion. S'y ajoute l’IUT Lumière de Bron. Si c’est le droit qui vous attire, tournez-vous plutôt vers l’université Jean-Moulin-Lyon 3 (22.500 étudiants), qui intègre différents instituts : un institut d'études judiciaires, un institut de droit immobilier et d'administration de biens, l'institut des assurances de Lyon, etc.
A signaler également : l’université catholique de Lyon, établissement privé qui accueille 3.500 étudiants. L’université Jean-Monnet de Saint-Etienne (14.100 étudiants) est pluridisciplinaire. Deux IUT y sont rattachés, à Saint-Etienne et à Roanne.
L’université Joseph-Fourier-Grenoble 1 est placée parmi les grandes universités internationales en sciences, technologie et santé (16.900 étudiants). Université de la recherche, elle constitue le premier ensemble scientifique français en dehors de la région parisienne. Ses multiples composantes sont réparties entre Grenoble, Saint-Martin-d'Hères (agglomération grenobloise), Valence (Drôme), La Tronche (agglomération grenobloise), Les Houches (Savoie). En plus de Saint-Martin-d’Hères, L’Isle-d’Abeau accueille aussi un IUT.
L'université Pierre-Mendès-France-Grenoble 2 (19.500 étudiants) est ouverte à des disciplines variées. Elle dispose d’antennes à Valence (Drôme) et à Vienne (Isère) et de deux IUT.
L’université Stendhal-Grenoble 3 (5.200étudiants) est spécialisée dans les disciplines suivantes : langues, lettres, langage, communication.
L'université de Savoie (11.500 étudiants) dispense, à Chambéry et Annecy, des cursus en lettres, langues, sciences humaines, droit mais aussi en économie et gestion (avec la présence de l'IMUS, Institut de management). Les sciences ne sont toutefois pas oubliées avec la présence de deux IUT (qui proposent entre autres les spécialités informatique, GEII, SRC), d'un IUP télécommunications, réseaux, informatique et d'une école d'ingénieurs rattachée.
L’offre en matière de BTS
Parmis les ST294S présentes dans 102 communes, vous aurez l’embarras du choix. On y trouve représentés, par exemple : le BTS en apprentissage de production horticole à Anneyron (Drôme) ; spécialité produits de la mode et du sport, à Romans (Drôme)… De nombreux BTS liés à la protection de la nature ou à l’agriculture sont enseignés, comme le BTS gestion et protection de la nature, à Aubenas (Ardèche). Région touristique, Rhône-Alpes accueille le BTS animation et gestion touristiques locales dans 19 établissements. Parmi les BTS rares en France, on peut citer le BTS podo-orthésiste et le BTS prothésiste orthésiste, proposés à Valence. Autre BTS insolite, le BTS peintures, encres et adhésifs de l’Institut textile et chimique de Lyon."
Avec 11 pôles de compétitivité labellisés, dont 3 internationaux (Biopôle, Minalogic et Imaginove), c’est la région Rhône-Alpes qui en accueille le plus grand nombre dans l’Hexagone avec l’Ile-de-France. Et ce n’est pas un hasard : Grenoble et Lyon sont réputées pour favoriser la synergie entre enseignement, recherche et industrie. Au-delà de l’essor de la filière électronique-numérique, des nouveaux matériaux, des industries liées à la santé ou utilisatrices des biotechnologies, la région est riche d’activités industrielles diversifiées.
Autant de développements qu’accompagne l’enseignement supérieur rhônalpin, autour de programmes résolument tournés vers l’international, les technologies innovantes, comme les micro et nanotechnologies, et la recherche. Avec quelques pôles majeurs : les sciences de la vie et de la santé, les sciences humaines et sociales pour Lyon, les sciences de l'ingénieur, la physique et les matériaux, l’astrophysique, l’environnement, l’informatique et les sciences de l'ingénieur pour Grenoble.
L’offre en matière de grandes écoles
La région compte une trentaine de grandes écoles (selon la Conférences des grandes écoles), dont quatre écoles supérieures de commerce. Pour les écoles d’ingénieurs qui recrutent principalement après une prépa, Lyon est une destination à privilégier, avec entre autres l’Ecole centrale de Lyon, CPE Lyon (Ecole supérieure de chimie-physique-électronique de Lyon), l’ENTPE (Ecole nationale des travaux publics de l'Etat), l’ITECH (Institut textile et chimique de Lyon)… N’oubliez pas pour autant l’ENSMSE (Ecole nationale supérieure des mines de Saint-Etienne) ni les 9 écoles de l’INPG (Institut national polytechnique de Grenoble), qui fédère en outre un département télécommunications, un cycle préparatoire polytechnique, 26 laboratoires de recherche, 8 fédérations de recherche, un collège doctoral en sciences de l’ingénieur et un département de formation continue. L’INPG propose un nouveau master européen, Nanotech, créé en partenariat avec l’EPFL (Ecole polytechnique fédérale de Lausanne) et le Politecnico de Turin.
Parmi les écoles d’ingénieurs qui recrutent après le bac, l'INSA (Institut national des sciences appliquées) de Lyon est pluridisciplinaire et particulièrement coté. A signaler : sa filière génie mécanique procédés plasturgie (GMPP), qui fait suite à l'intégration de l'ESP (Ecole supérieure de plasturgie) d'Oyonnax.Vous pouvez aussi intégrer l’ISARA (Institut supérieur d’agriculture et d’agroalimentaire Rhône-Alpes), l'ECAM Lyon (Ecole catholique d’arts et métiers de Lyon) ou encore l’ENISE (Ecole nationale d’ingénieurs de Saint-Etienne).
Pour les écoles de commerce qui recrutent surtout après une prépa, Lyon est également une très bonne destination, avec l’EM Lyon (Ecole de management de Lyon), qui rivalise avec les grandes parisiennes. Mais vous pouvez opter pour Grenoble école de management, l’ESC Chambéry (qui accueille aussi des sportifs de haut niveau dans son Centre d'études des sportifs de niveau international) ou encore l’ESC Saint-Etienne. Par ailleurs, de multiples écoles recrutent après le bac, notamment à Lyon : l’ESCE Lyon (banque d’épreuves Sésame), l’IFAG Lyon, l’ECE Lyon, l’ESDES Lyon, le CEFAM Lyon, l’EICD 3A Lyon (axée sur l’humanitaire), l’IDRAC Lyon, l’ICL, l’ISTL, l’ECEMA…
Deux IEP
Il y a deux instituts d’études politiques (IEP) dans la région : l’un à Lyon (1.400 étudiants) et l’autre à Grenoble (1.500 étudiants). Pour intégrer le premier, il faut passer un concours commun à six IEP (Aix, Lyon, Strasbourg, Lille, Rennes et Toulouse). Le second fait cavalier seul.
L’offre en matière d’universités
Les étudiants qui ont choisi la fac se répartissent entre 9 universités, 5 pour l’académie de Lyon, 4 pour celle de Grenoble.L'université Claude-Bernard-Lyon 1 (32.200 étudiants) couvre l'ensemble des disciplines de science et de santé. Deux IUT y sont rattachés (Villeurbanne et Bourg-en-Bresse). L’université Lumière-Lyon 2 (27.800 étudiants) est quant à elle plutôt orientée vers des formations en sciences humaines et sociales, lettres, langues, sciences juridiques, sciences politiques, sciences économiques et gestion. S'y ajoute l’IUT Lumière de Bron. Si c’est le droit qui vous attire, tournez-vous plutôt vers l’université Jean-Moulin-Lyon 3 (22.500 étudiants), qui intègre différents instituts : un institut d'études judiciaires, un institut de droit immobilier et d'administration de biens, l'institut des assurances de Lyon, etc.
A signaler également : l’université catholique de Lyon, établissement privé qui accueille 3.500 étudiants. L’université Jean-Monnet de Saint-Etienne (14.100 étudiants) est pluridisciplinaire. Deux IUT y sont rattachés, à Saint-Etienne et à Roanne.
L’université Joseph-Fourier-Grenoble 1 est placée parmi les grandes universités internationales en sciences, technologie et santé (16.900 étudiants). Université de la recherche, elle constitue le premier ensemble scientifique français en dehors de la région parisienne. Ses multiples composantes sont réparties entre Grenoble, Saint-Martin-d'Hères (agglomération grenobloise), Valence (Drôme), La Tronche (agglomération grenobloise), Les Houches (Savoie). En plus de Saint-Martin-d’Hères, L’Isle-d’Abeau accueille aussi un IUT.
L'université Pierre-Mendès-France-Grenoble 2 (19.500 étudiants) est ouverte à des disciplines variées. Elle dispose d’antennes à Valence (Drôme) et à Vienne (Isère) et de deux IUT.
L’université Stendhal-Grenoble 3 (5.200étudiants) est spécialisée dans les disciplines suivantes : langues, lettres, langage, communication.
L'université de Savoie (11.500 étudiants) dispense, à Chambéry et Annecy, des cursus en lettres, langues, sciences humaines, droit mais aussi en économie et gestion (avec la présence de l'IMUS, Institut de management). Les sciences ne sont toutefois pas oubliées avec la présence de deux IUT (qui proposent entre autres les spécialités informatique, GEII, SRC), d'un IUP télécommunications, réseaux, informatique et d'une école d'ingénieurs rattachée.
L’offre en matière de BTS
Parmis les ST294S présentes dans 102 communes, vous aurez l’embarras du choix. On y trouve représentés, par exemple : le BTS en apprentissage de production horticole à Anneyron (Drôme) ; spécialité produits de la mode et du sport, à Romans (Drôme)… De nombreux BTS liés à la protection de la nature ou à l’agriculture sont enseignés, comme le BTS gestion et protection de la nature, à Aubenas (Ardèche). Région touristique, Rhône-Alpes accueille le BTS animation et gestion touristiques locales dans 19 établissements. Parmi les BTS rares en France, on peut citer le BTS podo-orthésiste et le BTS prothésiste orthésiste, proposés à Valence. Autre BTS insolite, le BTS peintures, encres et adhésifs de l’Institut textile et chimique de Lyon."
