Ce Blog constitue un lien peu 'papivore' et surtout économique

Association PEEP du Lycée Berthollet
c/o

samedi 22 juin 2013

Le blog entre en dormance

Bonjour à vous toutes et tous, Je constate que le blog n'est plus utilisé par l'association PEEP du Lycée Berthollet. J'ai donc fait passer sous forme de 'brouillon' (pour en garder la trace) les 3/4 des messages qui constituaient le corpus du blog (206 messages) qui nous a servi pendant plusieurs années.
Si quelqu'un veut réactiver le blog dans l'avenir, qu'il n'hésite pas à prendre contact avec moi ...
Bien cordialement. 
Laurent Fauvel

samedi 9 avril 2011

Bac L

Présenté dans Le Monde

Le bac L a-t-il encore un avenir ? "En 1994, 18,5 % des élèves choisissaient d'aller en bac L. Quinze ans plus tard, ils ne sont plus que 11,4 % à faire ce choix et 50 000 inscrits (deux fois moins qu'en ES et trois fois moins qu'en S). On devrait presque dire 'inscrites' tant le bac L est sexué avec ses 78,7 % de filles. En fait, la série L n'a pas suivi la voie de l'expansion des autres séries du bac depuis 1985. Quand le nombre des bacheliers scientifiques a doublé, celui des littéraires n'a augmenté que de 10 % et baisse maintenant régulièrement. En 2009, ce sont ainsi 1 900 candidats de moins qui se sont présentés (...)."

jeudi 31 mars 2011

"valeur ajoutée" aux bacheliers

A l'heure où les collégiens choisissent le lycée où ils entreront en septembre, les résultats du baccalauréat 2010 viennent de paraître, établissement par établissement, section par section. LeMonde.fr vous les propose en intégralité. Pas de grande surprise pour les lycées de centre ville. Les grands parisiens font toujours leur sans-faute, toutes séries confondues et les grands provinciaux tombent rarement sous la barre des 95 %. Le match public-privé ne signifie plus grand-chose en terme de résultats, à l'heure où un élève sur deux passe à un moment ou l'autre de sa scolarité par le privé sous contrat. Faut-il se laisser tenter par un établissement qui affiche des scores de 100 % de réussite ou s'intéresser à d'autres critères ? En 2010, un lycée sur dix obtient ces 100 % de bacheliers en série économique ou en série scientifique. Un quart de ceux qui proposent une section littéraire arrivent aussi à ce score. Un score qui attire forcément l'œil des parents. Et pourtant, ce taux ne dit pas tout. Pour comprendre le fonctionnement d'un lycée, il faut aussi regarder le pourcentage d'élèves qui ne passe pas de la classe de seconde à la classe de première et ensuite le taux de redoublants qui est accepté en classe de terminale en cas d'échec à l'examen. Une autre approche, moins visible, moins attirante, a un intérêt pour les familles : la valeur ajoutée. Certains lycées permettent de décrocher un bac à des élèves qui statistiquement n'avaient pas beaucoup de chances de l'obtenir. Dans le jargon de l'éducation nationale, ce type de lycée est un "établissement à valeur ajoutée". Le "TVA" (taux de valeur ajoutée) des lycées est calculé par la différence entre les taux de succès aux différents bacs et le taux qu'on attendait du lycée compte tenu de la population qu'il accueille. Ce calcul des taux attendus se fait en fonction de l'origine sociale, des résultats en fin de collège et des redoublements antérieurs des élèves. A partir des résultats 2010 des 2 393 lycées généraux et technologiques de France, Le Monde a calculé que 51 % des établissements ont une valeur ajoutée négative ou nulle. Un peu moins d'un lycée sur deux est capable de cette plus-value. Un résultat qui n'est pas extraordinaire pour ce qu'on croyait pourtant être le maillon fort de notre système éducatif... Maryline Baumard - Le Monde

http://abonnes.lemonde.fr/education/infographie/2011/03/30/bac-2010-le-palmares-des-lycees_1500521_1473685.html#ens_id=1229424


samedi 5 mars 2011

Michel Serres - Eduquer au XXIe siècle

Entre 1900 et 2011, tout a changé pour les écoliers qui vivent à présent dans le virtuel et dans une société multiculturelle. Il faut aider l'école à prendre la mesure de cette nouvelle ère
Qui se présente, aujourd'hui, à l'école, au collège, au lycée, à l'université ?
Ce nouvel écolier, cette jeune étudiante, n'ont jamais vu veau, vache, cochon ni couvée. En 1900, la majorité des humains travaillaient au labour et à la pâture ; en 2011, la France ne compte plus que 1 % de paysans. Sans doute faut-il voir là une des plus fortes ruptures de l'histoire depuis le néolithique. Celui et celle que je vous présente ne vivent plus en compagnie des vivants, n'habitent plus la même Terre, n'ont plus le même rapport au monde. Ils n'admirent qu'une nature arcadienne, celle du loisir ou du tourisme. Ils habitent la ville. Leurs prédécesseurs immédiats, pour moitié, hantaient les champs. Mais, devenus sensibles à l'environnement, ils pollueront moins, prudents et respectueux, que nous autres, adultes inconscients et Narcisse. Ils n'ont plus la même vie physique ni le même monde en nombre, la démographie ayant bondi vers 7 milliards d'humains ; ils habitent un monde plein.
Leur espérance de vie va vers 80 ans. Le jour de leur mariage, leurs arrière-grands-parents s'étaient juré fidélité pour une décennie à peine. Qu'il et elle envisagent de vivre ensemble, vont-ils jurer de même pour soixante-cinq ans ? Leurs parents héritèrent vers la trentaine, ils attendront la vieillesse pour recevoir ce legs.
Depuis soixante ans, intervalle unique dans notre histoire, ils n'ont jamais connu de guerre, ni bientôt leurs dirigeants ni leurs enseignants. Bénéficiant d'une médecine efficace et de médicaments antidouleur, ils ont moins souffert, statistiquement parlant, que leurs prédécesseurs. Ont-ils eu faim ? Or, religieuse ou laïque, toute morale se résumait à des exercices destinés à supporter une douleur inévitable et quotidienne : maladies, famine, cruauté du monde. Ils n'ont plus le même corps ni la même conduite ; aucun adulte ne sut leur inspirer une morale adaptée.
Alors que leurs parents furent conçus à l'aveuglette, leur naissance est programmée. Comme pour le premier enfant, l'âge moyen de la mère a progressé de dix à quinze ans, les parents d'élèves ont changé de génération. Pour moitié, ces parents ont divorcé. Ils n'ont plus la même généalogie.
Alors que leurs prédécesseurs se réunissaient dans des classes ou des amphis culturellement homogènes, ils étudient au sein d'un collectif où se côtoient plusieurs religions, langues, provenances et moeurs. Pour eux et leurs enseignants, le multiculturalisme est de règle. Pendant combien de temps pourront-ils encore chanter l'ignoble " sang impur " de quelque étranger ? Autour d'eux, les filles et les fils d'immigrés, venus de pays moins riches, ont vécu des expériences vitales inverses.
Quelle littérature, quelle histoire comprendront-ils sans avoir vécu la rusticité, les bêtes domestiques, la moisson d'été, dix conflits, cimetières, blessés, affamés, patrie, drapeau sanglant, monuments aux morts, sans avoir expérimenté dans la souffrance, l'urgence vitale d'une morale ?
Ils sont formatés par les médias, diffusés par des adultes qui ont méticuleusement détruit leur faculté d'attention en réduisant la durée des images à sept secondes et le temps des réponses aux questions à quinze secondes, chiffres officiels ; dont le mot le plus répété est " mort " et l'image la plus représentée celle de cadavres. Dès l'âge de 12 ans, ces adultes-là les forcèrent à voir plus de 20 000 meurtres.
Ils sont formatés par la publicité ; comment peut-on leur apprendre que le mot relais, en français, s'écrit " ais " à la fin, alors qu'il est affiché dans toutes les gares " ay " ? Comment peut-on leur apprendre le système métrique, quand, le plus bêtement du monde, la SNCF leur fourgue des S'Miles ? Nous, adultes, avons doublé notre société du spectacle d'une société pédagogique dont la concurrence écrasante, vaniteusement inculte, éclipse l'école et l'université. Pour le temps d'écoute et de vision, la séduction et l'importance, les médias se sont saisis depuis longtemps de la fonction d'enseignement.
Critiqués, méprisés, vilipendés, puisque pauvres et discrets, même s'ils détiennent le record mondial des prix Nobel récents et des médailles Fields - équivalents du Nobel en mathématiques - par rapport au nombre de la population, nos enseignants sont devenus les moins entendus de ces instituteurs dominants, riches et bruyants.
Ces enfants habitent donc le virtuel. Les sciences cognitives montrent que l'usage de la Toile, lecture ou écriture au pouce des messages, consultation de Wikipédia ou de Facebook, n'excitent pas les mêmes neurones ni les mêmes zones corticales que l'usage du livre ou du cahier. Ils peuvent manipuler plusieurs informations à la fois. Ils ne connaissent ni n'intègrent ni ne synthétisent comme nous, leurs ascendants.
Par téléphone cellulaire, ils accèdent à toute personne ; par GPS, à tout lieu ; par la Toile, à tout savoir ; ils hantent donc un espace topologique de voisinages, alors que nous habitions un espace métrique, référé par des distances. Ils n'habitent plus le même espace. Sans que nous nous en apercevions, un nouvel humain est né, pendant un intervalle bref, celui qui nous sépare des années 1970.
Nés sous péridurale et de naissance programmée, ils ne redoutent plus, sous soins palliatifs, la même mort. N'ayant plus la même tête que celle de leurs parents, ils connaissent autrement. Ils écrivent autrement. Pour les observer, avec admiration, envoyer, plus rapidement que je ne saurai jamais le faire de mes doigts gourds, des SMS avec les deux pouces, je les ai baptisés, avec la plus grande tendresse Petite Poucette et Petit Poucet.
Ils ne parlent plus la même langue. Depuis Richelieu, l'Académie française publie, à peu près tous les vingt ans, pour référence, le dictionnaire de la nôtre. Aux siècles précédents, la différence entre deux publications s'établissait autour de 4 000 à 5 000 mots, chiffres ; entre la précédente et la prochaine, elle sera d'environ 30 000. A ce rythme, on peut deviner qu'assez vite, nos successeurs pourraient se trouver, demain, aussi séparés de notre langue que nous le sommes, aujourd'hui, de l'ancien français pratiqué par Chrétien de Troyes (v. 1135-v. 1183) ou Jean, sire de Joinville (v. 1224-v. 1317). Cette immense différence, qui touche toutes les langues, tient, en partie, à la rupture entre les métiers des années récentes et ceux d'aujourd'hui. Petite Poucette et son ami ne s'évertueront plus aux mêmes travaux.
Que transmettre ? Le savoir ! Jadis et naguère, le savoir avait pour support le corps du savant, aède ou griot. Une bibliothèque vivante... voilà le corps enseignant du pédagogue. De même que la pédagogie (paideia) fut inventée par les Grecs, au moment de l'invention et de la propagation de l'écriture ; de même qu'elle se transforma quand émergea l'imprimerie, à la Renaissance ; de même, la pédagogie change totalement avec les nouvelles technologies.
Ce changement si décisif de l'enseignement - répercuté sur l'espace entier de la société mondiale et l'ensemble de ses institutions désuètes, qui ne touche pas, et de loin, l'enseignement seulement, mais aussi le travail, les entreprises, la santé, le droit et la politique, bref, l'ensemble de nos institutions -, nous sentons en avoir un besoin urgent, mais nous en sommes encore loin. Probablement parce que ceux qui traînent, dans la transition entre les derniers états, n'ont pas encore pris leur retraite, alors qu'ils diligentent les réformes, selon des modèles depuis longtemps effacés.
Enseignant pendant un demi-siècle sous à peu près toutes les latitudes du monde, où cette crevasse s'ouvre aussi largement que dans mon propre pays, j'ai subi, j'ai souffert ces réformes-là comme des emplâtres sur des jambes de bois, des rapetassages ; or les emplâtres endommagent le tibia, même artificiel : les rapetassages déchirent encore plus le tissu qu'ils cherchent à consolider.
Depuis quelques décennies, nous vivons une période comparable à l'aurore de la paideia, après que les Grecs apprirent à écrire et démontrer ; semblable à la Renaissance qui vit naître l'impression et le règne du livre apparaître ; période incomparable puisqu'en même temps que ces techniques mutent, le corps se métamorphose, changent la naissance et la mort, la souffrance et la guérison, les métiers, l'espace, l'habitat, l'" être-au-monde ".
Face à ces mutations, sans doute convient-il d'inventer d'inimaginables nouveautés, hors les cadres désuets qui formatent encore nos conduites, nos médias, nos projets adaptés à la société du spectacle. Je vois nos institutions luire d'un éclat semblable à celui des constellations dont les astronomes nous apprirent qu'elles étaient mortes depuis longtemps déjà.
Pourquoi ces nouveautés ne sont-elles point advenues ? Je crains d'en accuser les philosophes, dont je suis, gens qui ont pour métier d'anticiper le savoir et les pratiques à venir, et qui ont, ce me semble, failli à leur tâche. Engagés dans la politique au jour le jour, ils n'entendirent pas venir le contemporain. Si j'avais eu à croquer le portrait des adultes, dont je suis, ce profil eût été moins flatteur.
Je voudrais avoir 18 ans, l'âge de Petite Poucette et de Petit Poucet, puisque tout est à refaire, puisque tout reste à inventer. Je souhaite que la vie me laisse assez de temps pour y travailler encore, en compagnie de ces Petits, auxquels j'ai voué ma vie, parce que je les ai toujours respectueusement aimés.

Michel Serres
Philosophe et académicien
Philosophe et épistémologue, né en 1930, ancien élève de l'Ecole navale et de l'Ecole normale supérieure de la rue d'Ulm, il est l'auteur d'ouvrages consacrés à l'éducation (" Le Tiers-Instruit ", Gallimard, 1992). Il a récemment publié " Le Temps des crises " (Le Pommier, 2009) et sortira, en mars, " Musique " (Le Pommier).
L'intégralité de ce texte, écrit pour la séance interacadémique consacrée aux nouveaux défis de l'éducation qui s'est tenue, le 1er mars, sous la coupole de l'Institut de France, ainsi que les contributions de Pierre Léna et de Xavier Darcos.
Sur Lemonde.fr

mercredi 24 novembre 2010

OUI A LA PHILOSOPHIE !


COMMUNIQUE DE PRESSE

"
La PEEP soutient l’idée d’un enseignement d’exploration de la philosophie dès la seconde.

En effet, il est essentiel que le questionnement philosophique soit étudié bien en amont de la fin des études secondaires, en l’adaptant au niveau des élèves, qu’ils soient en secondaire, voire en primaire.

Beaucoup de lycéens découvrent cette discipline l’année du baccalauréat, et par méconnaissance, la considèrent mineure dans leurs cursus et ne déploient pas les efforts nécessaires pour bien l’appréhender, alors que le coefficient à l’épreuve est élevé.

Le stress de l’année du bac les contraint à faire des choix dans leurs apprentissages en privilégiant l’étude des disciplines qu’ils connaissent depuis le collège, au détriment de cette matière fondamentale.

Pour découvrir le questionnement philosophique sous un angle moins abrupte, on peut parfaitement l’intégrer dans l’enseignement d’ECJS (Education civique, juridique et sociale) et dans la transversalité des autres disciplines, qu’elles soient littéraires ou scientifiques.

Des thématiques comme la citoyenneté, les droits et devoirs, la liberté, l’égalité, la morale… seraient alors abordées plus tôt et permettraient à nos jeunes d’affiner leur esprit critique face aux grands enjeux de notre société.

N’oublions pas également que l’un des objectifs de la réforme du lycée est de valoriser la filière littéraire qui fait l’objet d’une désaffection grandissante de la part des élèves. "

jeudi 14 octobre 2010

Attention

COMMUNIQUE DE PRESSE du 12 octobre 2010
LA PEEP PERSISTE ET SIGNE :
Les jeunes n’ont pas à être des variables d’ajustement de combats d’idées.
A entendre s’exprimer des représentants de 16 ans d’une organisation de lycéens, et réciter un discours convenu, dogmatique et répétitif, la PEEP confirme sa position.
Oui, il y a instrumentalisation de jeunes mineurs par des adultes qui s’en servent comme outil de revendication : nous sommes la seule Fédération de parents à le dénoncer !
Quelle image ces adultes donnent-ils à des jeunes en construction ?
Dans quel monde vivons-nous ! Un monde où des adultes brandissent l’étendard de la peur et prônent une société de la défiance et de la désobéissance auprès de nos jeunes.
Ne nous étonnons donc pas que ces derniers aient de moins en moins de repères et de confiance dans l’avenir qu’ils sont pourtant les mieux à même de construire et de choisir.
Un lycéen de 16 ans dans la rue ne perd pas une journée de rémunération ! Il perd par contre des heures de cours et hypothèque une fois de plus ses propres résultats scolaires mais également ceux des plus faibles en bloquant l’accès à leur établissement.
Bientôt, ces lycéens seront majeurs et dans un pays démocratique c’est devant une urne qu’ils devront décider… Beaucoup semblent oublier que c’est là un moyen d’expression que des milliers d’autres n’ont pas dans le monde !
L’école doit apporter aux jeunes des éléments de réflexion et des connaissances pour les aider à développer leur esprit critique, mais pas à n’importe quel prix.
Il n’appartient pas à de jeunes lycéens de défendre les intérêts des adultes mais bien à des adultes de les protéger contre toute violence.
Ne nous trompons pas d’instrument !
La PEEP a choisi le sien : la réussite par l’Ecole !

mercredi 6 octobre 2010

Le cinéclub au Lycée

La plate-forme numérique
a été mise en service Lundi 4 octobre 2010.
Dans un premier temps, 80 films du patrimoine mondial du cinéma seront ainsi à disposition des lycéens. Il est prévu que les séances soient organisées et encadrées par un enseignant. On ne savait que peut chose sur la mise en place de ce dispositif culturel. Maintenant que les modalités d'accès à ces films sont connues, AVIS aux amateurs de toiles ...

vendredi 24 septembre 2010

Dates des vacances de l'année scolaire 2010 - 2011

Vacances de la Zone A : académies de : Caen, Clermont-Ferrand, Grenoble, Lyon, Montpellier, Nancy-Metz, Nantes, Rennes, Toulouse
Vacancesdate de fin des coursdate de reprise
Rentrée scolaire des enseignantsmercredi 1er septembre 2010
Rentrée scolaire des élèvesjeudi 2 septembre 2010
Vacances de la Toussaintsamedi 23 octobre 2010 jeudi 4 novembre 2010
Vacances de Noëlsamedi 18 décembre 2010 lundi 3 janvier 2011
Vacances d'hiversamedi 26 février 2011 lundi 14 mars 2011
Vacances de printempssamedi 23 avril 2011 lundi 9 mai 2011
Vacances d'étésamedi 2 juillet 2011 lundi 5 septembre 2011

samedi 18 septembre 2010

Nouveaux parents

De nombreux nouveaux parents sont venus à la réunion de prise de contact.
Merci à eux de nous avoir rejoint.
Personne ne s'est insurgé contre la procédure d'adhésion mise ne place avec le lien sur le blog. La plus part des parents ont accepté d'avoir leurs coordonnées inscrites sur le blog. Nous avons rassemblé les listes avec Isabelle le surlendemain. Hélas, il manque encore beaucoup de délégués pour les conseils de classes ... Certains parents n'ont donc pas osé demander à être parents délégués. Dommage! Parlez avec vos connaissances et essayez de les décider à franchir le cap. Nous ferons au besoin une petite réunion spéciale d'initiation en petit comité.

mercredi 10 mars 2010

Orthographe, toujours et encore

Voilà un site intéréssant qui présente un Bréviaire d'orthographe française à consulter pour retrouver des règles et de leurs exceptions......... !

vendredi 8 janvier 2010

Voeux des adhérents

J'ai remis, en votre nom, à ton la carte de voeux, à Monsieur le proviseur et à son secrétariat, Madame le proviseur-adjoint et son secrétariat, à l'équipe de la C.P.E., à l'ensemble des professeurs (par affichage en salle des professeurs). Et bien sûr, vous avez reçu aussi mes voeux et j'espère que le dernier que j'ai formulé, aura poussé votre curiosité jusquà ce dernier billet !...
Bien cordialement.

Erasmus

European Region Action Scheme for the Mobility of University Students
J'ai trouvé la vidéo ci-dessous, intéressante pour les futurs étudiants quand ils auront achevé leur première année d'études universitaires. Elle devrait les aider à établir leur projet d'étude avec peut-être un séjour riche pour sa formation personnelle, vers l'un des 30 pays de l'Espace économique européen (E.E.E.) (soit les 27 pays membres de l'Union européenne ainsi que l'Islande, le Liechtenstein et la Norvège), de la Suisse, et de la Turquie = [les 27 États membres de l'U.E., + les 4 de l'A.E.L.E. (Association européenne de libre-échange = Islande, Norvège, Liechtenstein & Suisse) + la Turquie = c'est l'occasion de revoir les cadres institutionnels de l'Europe], qui sont les pays concernés par le programme européen ERASMUS.
J'aime bien le Concept Erasmus, car il a un profond et large sens européen. Et c'est bien que la Turquie y soit associée. Car sans Bysance et la Chute de Constantinople en 1453, il n'y aurait pas eu de Renaissance en Europe et Erasme n'aurait pas pu être ce personnage incontournable Erasme qui a eu des échanges épistoliers cosmopolites avec plus de 600 correspondants érudits dans toute l'Europe. A la chute de Constantinople, les savants grecs emportent avec eux, les restes de leurs bibliothèques et leur savoir, et se réfugient vers le dernier État grec, Trébizonde. Mais en 1456, Trébizonde subit à son tour le siège ottoman. Elle est obligée de verser un lourd tribut qui l'affaiblit. Sa chute définitive en 1461, oblige les savants grecs à fuir vers l'Italie. La connaissance du grec dope la culture latine scolastique. C'est l'explication au Rinascimento que je préfère, à celle des simples échanges dus à la Première Croisade (1096/1099).
Go and Do it !
Informations sur les programmes de coopération bilatérale existant dans l'académie, auprès du délégué académique aux relations européennes et internationales (Dareic). Un séjour d'études Erasmus s'inscrit obligatoirement dans le cadre d'échanges entre établissements.
Pour Grenoble - 7, place Bir-Hakeim
BP 1065 - 38021 Grenoble cedex

mél : bruno.boddaert@ac-grenoble.fr; ce.dareic@ac-grenoble.fr
Sites utiles :

mercredi 6 janvier 2010

Propositions pour l'orthographe

Elles datent de 1990 !
Après vingt ans, peut-être faudrait-il enfin s'appliquer à perdre quelques habitudes
que l'on a eues tant du mal à prendre!

Les propositions de graphie simplifiée, selon la «rectification» de l'orthographe de 1990 initiée par la Délégation générale à la langue française (DGLF), ont été rapidement validées par l'Académie Française, comme «variante correcte», mais ne sont apparues dans les programmes qu'en juin 2008. Et elles demeurent encore très ignorées! Il n'y a eu que très peu de communication dans la presse et dans les médias, alors qu'ils écrivent beaucoup et parlent tout autant, bien souvent pour ne rien dire d'intéressant...!

1. Les numéraux
Les numéraux sont liés par un trait d’union. ex: cent un/cent-un

2. Les mots composés

2.1 On observe une tendance à la soudure des mots composés d’usage courant. ex: auto-école/autoécole

2.2 Les mots composés prennent la marque du pluriel sur l’élément final, sur le modèle du mot simple. ex: un compte-gouttes, des compte-gouttes/un compte-goutte, des compte-gouttes

3. L’accentuation

3.1 On introduit l’accent aigu sur le e prononcé fermé. ex: assener/asséner

3.2 On remplace l’accent aigu par l’accent grave sur le e prononcé ouvert. ex: céder, céderai/cèderai ; événement/évènement

3.3 Les verbes en -eler/-eter et leurs dérivés s’écrivent avec l’accent grave et une consonne simple comme les verbes de même formation. ex: amonceler, j’amoncelle, amoncellement/j’amoncèle, amoncèlement sur le modèle de celer, cèle ; étiqueter, j’étiquette/j’étiquète sur le modèle de acheter, j’achète

3.4 L’accent circonflexe est supprimé sur le i et le u. ex: î/i, û/u, /ai, /oi, /ou, aoû/aou ; île/ile, flûte/flute, connaître/connaitre, accroître/accroitre, goût/gout, août/aout

3.5 Le tréma est placé sur le u prononcé. ex: aiguë/aigüe ; ambiguïté/ambigüité

4. L’invariabilité du participe passé

Le participe passé de laisser suivi d’un infinitif est invariable. ex: elle s’est laissée féliciter/elle s’est laissé féliciter

5. Les mots d’emprunt

Les mots d’emprunt, issus du grec ou du latin ou de langues vivantes étrangères, suivent les règles d’écriture du français. ex: a priori/à priori

5.1 On observe une tendance à la soudure des mots d’emprunt d’usage courant. ex: cow-boy/cowboy ; week-end/weekend

5.2 On observe une tendance à la francisation des graphèmes. ex: gas-oil, gasoil/gazole ; referendum/référendum; un torero, une torera/un toréro, une toréra ; un supporter/un supporteur, une supportrice

5.3 Les mots d’emprunt suivent la règle de formation du pluriel des mots français. ex: un média/des médias ; un jazzman, des jazzmen/un jazzman, des jazzmans ; un squatter/un squatteur, des squatteurs ; un week-end/un weekend, des weekends

6. Les familles désaccordées
Pour plus de cohérence, on tend à régulariser les familles désaccordées. ex: chariot/charriot d’après charrier, charrette


d'après la deuxième page du rapport de la DGLF


- son Dictionnaire (volume 1 : de A à Enzyme; volume 2 : de Eocène à Mappemonde, édition de 1992); le troisième tome, «P» à «r», est attendu en 2010.


Bonne année 2010

& RÉUSSITE

lundi 7 décembre 2009

Histoire de

Le rééquilibrage des filières générales constitue l'objectif premier de la réforme annoncée. Il était temps! Déjà lorsque j'étais jeune, la filière S (scientifique) était la filière généraliste qui donnait accès aussi bien aux prépas scientifiques qu'à Sciences Po ou aux prépas littéraires... Ce n'était pas sain. Je trouve logique qu'on cherche à davantage spécialiser la filière L (littéraire) en générant l'attrait pour les langues, l'histoire et la philosophie.
Mais attention, il faudrait éviter l'écueil ridicule qui serait de dévaloriser la section S ! Car la réforme prévoit aussi un meilleur accompagnement, un soutien individualisé. OK, c'est très beau et nécessaire, cela devrait être proposé en plus (ce ne serait pas si lourd ... les vacances sont longues), sans nuire à l'acquisition de la méthodologie, la pratique de l'expérimentation et à la transmission des savoirs. La perte de près de 200 heures de disciplines scientifiques, au profit d'heures d'accompagnement et d'orientation semble disproportionnée et ne me semble pas souhaitable.
L'écueil est là, que l'on ne se trompe pas!
Car que l'Histoire - j'adore cette discipline - soit une matière traitée en section S comme le français ne me choque pas. Son étude pourrait être, sans dommage véritable, renforcée en 1ère et donner lieu à une épreuve anticipée du bac... et devenir optionnelle pour toutes les sections en terminale! là je rêve ... mais pourquoi pas!
Qu'en pensez-vous?

vendredi 4 décembre 2009

Infos Drogues

Dans ma boite e-mail, j'ai lu dans l'Infolettre du Gouvernement du 4 décembre 2009, dans la section http://www.gouvernement.fr/gouvernement/coups-d-oeil des infos qui sont suceptibles d'apporter des infos précieuses :
La Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (Mildt) a mis en ligne depuis le 1er octobre un nouveau portail www.drogues.gouv.fr
Articulé autour de trois rubriques : "s'informer", "lutter" et "être aidé", le portail a pour objectif de répondre à tous ceux qui s’interrogent ou qui cherchent des réponses concrètes sur la dépendance et les conséquences de l'usage de drogues.
Le volet "s'informer" relaye auprès du public une information scientifique récente et exhaustive sur le sujet et présente les dernières campagnes de prévention menées en France et à l’étranger.
Le volet "lutter" rappelle la législation en cours et recense les différents services compétents en matière de répression en renvoyant sur la plupart des sites des ministères et des partenaires concernés par la thématique des drogues et des toxicomanies.
Enfin, le volet "être aidé" donne des conseils pratiques pour aider les parents à aborder le sujet des drogues mais aussi sur l'attitude à adopter face à un adolescent qui consomme des produits illicites ou fait un usage abusif d'alcool.
Une série de questions-réponses, ciblées sur les dangers du cannabis, renseigne sur les effets et les conséquences de l'usage de cette drogue sur la santé et le comportement. Une carte de France interactive permettra à l'internaute de repérer les lieux de consultation spécialisée les plus proches de son domicile.

vendredi 27 novembre 2009

Vaccination antigrippale

Ma fille a reçu le dossier pour permettre la vaccination par l'intermédiaire de l'école. Votre enfant a dû le recevoir aussi!... en discutant avec 2 parents, nous nous sommes rendus compte qu'ils n'en avaient pas été informés... Ce qui explique ce billet.
Par ailleurs, comme pharmacien je suis confronté chaque jour à l'interrogation des patients sur l'utilité et la sécurité de se faire vacciner. Après une période de réflexion, troublée par des infos alarmistes redondantes et pourtant injustifiées, je me suis décidé à me faire vacciner ainsi que tout mon petit monde.
Hier soir, un conférence donnée à l'hôpital d'Annecy, les épidémiologues et le virologue m'ont conforté dans cette décision, et surtout n'ont émis aucune réserve sur les adjuvants sauf le cas particulier personnes greffées. Pour les femmes enceintes et les nourrissons, la vaccination avec des vaccins adjuvés est même préconisée en cas de manque de vaccins non adjuvés! Le doute n'est plus d'actualité, face à la bonne connaissance épidémiologique actuelle.
Et les jeunes sont les plus vulnérables, c'est une certitude.
Je suis vacciné...
et je vais faire vacciner mes 2 filles!
Laurent Fauvel
Docteur en Pharmacie
Point de vue personnel qui n'engage ni l'association, ni la fédération.

vendredi 20 novembre 2009

Réforme du lycée

Les réformes sont compliquées à suivre, j'ai trouvé la présentation dans Le Monde assez claire. Je me permets de la reproduire ici pour vous informer en comptant sur le sérieux habituel du journal!.
" Les élèves qui entreront en seconde en septembre 2010 étrenneront le "lycée Chatel" qui les amènera en 2012 à un baccalauréat peu différent de celui d'aujourd'hui. Si l'architecture globale du lycée reste identique, les grilles d'enseignements que présente Luc Chatel jeudi 19 novembre laissent s'insinuer des nouveautés qui, à terme – si les équipes pédagogiques s'en saisissent – pourraient modifier substantiellement l'enseignement secondaire. Le but affiché au ministère est de rendre plus attractif le bac littéraire (L) et plus scientifique le bac S, en donnant au jeune le droit à l'erreur.
Luc Chatel veut "laisser une marge de manoeuvre" aux établissements
Accompagnement et soutien. Deux heures d'accompagnement personnalisé figureront à l'emploi du temps de tous durant les trois années de lycée. Ces heures servant au soutien, à l'orientation et à l'approfondissement seront gérées par les établissements et inscrites dans le service des enseignants. Pourra s'y ajouter du tutorat.

En 2de, sciences économiques pour tous. Qu'ils rêvent d'un bac technologique ou général, tous les élèves de 2de suivront le même tronc commun de 23 h 30 de cours hebdomadaires, incluant deux langues vivantes, le français, les mathématiques, la physique-chimie, les sciences de la vie et de la terre (SVT) et le sport. S'y ajoutera un enseignement de sciences économiques à choisir entre deux propositions et un autre enseignement exploratoire à décider entre huit. "La littérature et le monde contemporain" y figureront au même titre que "les méthodes scientifiques" ou "les sciences de l'ingénieur". Cette classe sera commune aux élèves souhaitant préparer un bac général ou un bac technologique. Une option facultative pourra s'ajouter aux 28 heures de cours prévues.

Changer de série en fin de 1re. 60 % des enseignements seront encore communs aux élèves des trois séries générales durant cette deuxième année de lycée. Viendront s'y ajouter 40% d'enseignements de spécialité. Ce dosage permettra de mêler dans une même classe des élèves de séries différentes, mais autorisera surtout des réorientations. Un élève de série économique et social (ES) qui se rend compte qu'il aurait dû étudier en S pourra faire un "stage passerelle" durant les vacances afin de se mettre à niveau dans les enseignements de spécialité de la série scientifique. Ces passages seront possibles entre toutes les séries. Pour les simplifier, l'enseignement optionnel de mathématiques offert aux littéraires est le même que l'enseignement obligatoire reçu en filière économique.

En classe de terminale, c'est la spécialisation. Là se dessinent vraiment les bacs. En série S, l'enseignement de disciplines scientifiques pourra monter à 18 h 30 hebdomadaires, rendant le choix de cette filière délicat pour des élèves qui n'aiment pas vraiment les sciences. La spécialité "informatique et sciences du numérique" vient s'ajouter aux trois autres qui existent déjà.

Renforcer la série L. La palette des enseignements offerts en L s'élargit avec la possibilité de suivre une spécialité intitulée "droit des grands enjeux du monde contemporain". Les deux autres spécialités du futur bac L seront les arts ou bien les langues. L'enseignement de ces dernières sera d'ailleurs renforcé.

Priorité aux langues vivantes. On est loin du plan d'urgence pour les langues vivantes qu'avait annoncé Nicolas Sarkozy le 13 octobre. En revanche, à partir de la classe de 1re, les littéraires recevront un enseignement de littérature étrangère en langue étrangère. Et, dès la rentrée, les cours de langue ne seront plus dispensés par classe, mais devant des élèves qui ont les mêmes compétences à l'oral ou à l'écrit, en compréhension ou en expression.

L'histoire-géographie en vedette. L'histoire-géographie profite du tronc commun de 1re. Les scientifiques qui en avaient 2h30 par semaine passent à 4, comme les lycéens des autres séries. Une option plus légère leur sera proposée en terminale.

Le bac reste immuable. La promesse présidentielle de "réviser la nature et le contenu des épreuves du bac" en langues n'est plus d'actualité. Seule l'avancée des épreuves d'histoire-géographie des bacheliers scientifiques, à l'issue de la classe de 1re , est d'actualité.

Les programmes vont être réécrits d'ici deux mois. C'est presque l'intégralité des disciplines qui doit être réécrite."


Maryline Baumard
Article paru dans l'édition du Monde du 20.11.09

mardi 17 novembre 2009

Assemblée

Avez-vous un problème
pour nous rejoindre
samedi 28 novembre
au Lycée Berthollet
de 11h à 12h
pour établir le bureau de l'association?

mercredi 11 novembre 2009

Orientation avec le magazine l'Etudiant


Nathalie Pollet vient de m'informer que Le Magazine de l'Etudiant organise des conférences dans un train qui se déplace en France. Le Train De L'Orientation sera le 28 novembre 2009 à Annecy à la Gare SNCF.
"Du 7 novembre au 6 décembre 2009, Le train de l’Orientation sillonne la France !
Ce salon d’un nouveau type mobilise tous les acteurs de la formation de l’enseignement supérieur français. Son passage dans votre ville constitue l’un de vos temps forts en terme d’orientation.
Composé d’un wagon agora et de sept wagons thématiques, le train de l’orientation réunit des entreprises et des institutions, des établissements de formation en commerce et gestion, des écoles d’ingénieurs, de communication, des écoles artistiques, des universités, etc. Toutes les formations courtes ou longues, généralistes et spécialisées, accessibles en formation initiale ou en alternance sont représentées.
Lycéens, étudiants, parents ou encore enseignants, les interlocuteurs que vous rencontrerez vous
délivreront toutes les informations utiles à votre choix d’orientation et à votre projet professionnel. Etudes, métiers, vie étudiante… rien n’est laissé de côté. Vous trouverez auprès des représentants d’écoles et d’universités présentes les précisions concernant votre futur parcours scolaire.
Pour compléter votre information, un cycle de 6 conférences vous est proposé tout au long de la journée. Animées par un journaliste de l’Etudiant, chacune de ces rencontres est pour vous une réelle occasion d’obtenir des réponses à vos interrogations. Profitez-en ! "
extrait de
http://www.letudiant.fr/etudes/salons/annecy-train-de-l-orientation.html
Programme des conférences

9h30 : Que faire avec un bac S et STI ?
10h30 : Que faire avec un bac L ?
11h30 : BTS/DUT : choisir une filière courte après le bac.
14h30 : Que faire avec un bac ES et STG ?
15h30 : Alternance : concilier études et expérience professionnelle.
16h30 : Intégrer une école de commerce ou d’ingénieurs.

Gare SNCF Place la gare
74000 Annecy
Comment venir ? Quand
Du samedi 28 au samedi 28 novembre 2009.
De 9h à 18h. Entrée gratuite.

http://www.letudiant.fr/formulaire/inscription/annecy-train-de-l-orientation.html

jeudi 8 octobre 2009

Erasmus en hausse

Voilà des infos et des liens qui peuvent devenir intéressants pour établir sa 'carte de navigation' dans le parcours éducatif où devront s'engager nos lycéens. C'est surtout un manque de visibilité qui fait que cette expérience ne se trouve accessible qu'à quelques happy few. Il faut donc faire circuler l'information!
Le nombre d'étudiants du programme d'échanges a passé en 2009 la barre des 2 millions depuis sa création en 1987. Mais seule une petite élite en bénéficie chaque année, selon un rapport de la Commission européenne.
Le Monde du jeudi 8 octobre 2009

jeudi 24 septembre 2009

Orientations universitaires

Après le baccalauréat et particulièrement au cours d'études universitaires, les expériences des uns et des autres peuvent aider à établir des repères :
cf. ex. du commentaire 1
Laissez un message avec votre e-mail en donnant le parcours de votre enfant pour aider une terminale à échafauder son projet d'orientation.
Université de Savoie
Université Joseph Fourier - Grenoble 1
Université Pierre Mendés France - Grenoble 2
Université Stendhal- Grenoble 3
Université Claude Bernard - Lyon 1
Université Lumière Lyon 2
www.univ-lyon2.fr
Université Jean moulin - Lyon 3
Université Jean Monnet - St Etienne
www.univ-st-etienne.fr

jeudi 16 juillet 2009

Résultats définitifs du baccalauréat 2009

Le taux national de réussite en 2009 est de :

88,8 % pour le baccalauréat général
79,7 % pour le baccalauréat technologique
87,1 % pour le baccalauréat professionnel

Répartition par série pour le baccalauréat général :
87,1 % en série L
88,5 % en série E.S.
89,6 % en série S

Répartition par série pour le baccalauréat technologique :
78,7 % en série S.T.I.
86,7 % en série S.T.L.
74 % en série S.T.2.S.
81,2 % en série S.T.G.

Répartition par série pour le baccalauréat professionnel :
86,8 % dans le secteur « production »
89,2 % dans le secteur « production agricole »
86,8 % dans le secteur « services »

Baccalauréat

Selon Wikipedia, le baccalauréat est une altération du bas-latin bachalariatus qui désigne le premier rang de la hiérarchie universitaire. L'explication de l'étymologie par la décomposition en 2 mots, bacca lauri (baie de laurier) renvoie aux rites latins archaïques quand on honorait les gens en les ceignant d'une couronne de laurier. Faut-il en déduire comme je l'ai fait que comme les baies sont moins visibles que les feuilles... la couronne de baies était moins prestigieuse? lol!
L'université de Paris, au moyen Âge, a instauré ce premier grade. Pour la petite histoire le grade suivant, la licence, permettait d'enseigner (licencia docendi : permission d’enseigner). Le sens des mots est toujours essentiel. En 1808, Napoléon Ier a recréé le baccalauréat sous sa forme moderne... ou presque car il faudra attendre 1924 pour que les filles et les garçons passent le même examen! Quelques années plus tard en 1945, la proportion de bacheliers sur une génération était de 3 %. Lorsque j'ai passé mon bac en 1975, cette proportion atteignait 25 %. Avec 66,4% à l'heure actuelle, le changement est radical et cela interpelle les vieilles générations, celles qui sont parents ou grands-parents... Et les médias relaient bien l'inquiétude qui en résulte comme l'illustre la lecture dans Le Figaro 15/07/2009 de l'article de Marie-Estelle Pech "En trente ans, la valeur du bac s'est effondrée".
Il est vrai que depuis 1985, les bacs techniques et professionnels ont permis de 'pousser' à plus de 60 %, le taux d'une classe d'âge au niveau bac. Cette année le taux de réussite est record (86 % des candidats l'ont réussi cette année).
Le Baccalauréat est un des symboles républicains bien qu'il ait été innové sous l'Empire. Faut-il qu'il soit détenu par le plus grand nombre de citoyen possible sous des prétextes fallacieux et bien-pensant d'égalitarisme? Pour ma part, je pense qu'il faudrait se recentrer sur le premier élément fondamental: sa définition!
C'est le premier grade de l'enseignement Universitaire.
Tout y est dit, avec comme corollaire essentiel :
'tout le monde est-il apte à faire des études universitaires?'
Aujourd'hui, seuls 34 % d'une classe d'âge obtiennent un baccalauréat général (- littéraire (L), économique (ES), ou scientifique (S) -). Les plus récentes filières technologique et professionnelle, ont 'démocratisé' le diplôme, élargi le socle social du 'niveau bac' et porté à 66,4 % de réussite dans une classe d'âge. Fallait-il utiliser la même terminologie? les débats actuels font penser que cela a été une erreur. Ce qui est confirmé par l'afflux des bacheliers professionnels et technologiques en Faculté alors qu'ils n'y sont pas préparés.
Comme aujourd'hui, les soixante-six bacs font naître un état de confusion qui embrouille le sens de ce diplôme et qui amène à s'interroger sur le problème de sa valeur et de son existence même. Si par le passé j'ai pu penser qu'il serait finalement plus réaliste et économique de le supprimer dans sa version "examen" pour ne garder que sa version "contrôle continu", le réalisme sociale de ce qu'il représente et la valeur des mentions conférées, donnent une seconde vie à ce rituel social. Un lycéen quelconque peut se mesurer nationalement aux plus favorisés par leur environnement social ou la qualité de leur lycée d'origine et ainsi remporter une victoire symbolique et psychologique, favorable à 'l'ascenseur social républicain'. La sélection ne doit pas être taboue et doit permettre au mérite de s'exprimer sans être étouffé par un souci d'égalitarisme simpliste.
Laurent Fauvel
N'hésitez pas à réagir, abonder ou me contredire!

mardi 23 juin 2009

EPREUVE DE PHYSIQUE-CHIMIE DU BAC S

Philippe VRAND, Président de la Fédération PEEP, est intervenu auprès du Cabinet du Ministre de l'Education, dès que la PEEP a eu connaissance vendredi 19 juin, en fin de matinée, d'une erreur dans l'énoncé de l'épreuve de Physique Chimie de terminale S (option Physique) afin que les lycéens ne soient pas pénalisés.
Le Ministre Xavier DARCOS à fait publier le communiqué suivant :
"Précisions sur l'épreuve de physique-chimie du baccalauréat 2009 (série S) Communiqué de presse - Xavier Darcos 19/06/2009 169 000 candidats ont composé ce matin de 8 h 00 à 11 h 30 en physique-chimie (série S), au titre de l'épreuve obligatoire et de l'épreuve de spécialité. Une coquille et une imprécision d'échelle dans un schéma ont été repérées par la cellule d'alerte installée durant toute la période du baccalauréat à la direction générale de l'enseignement scolaire (DGESCO). L'inspecteur général responsable des sujets de physique a proposé sur le champ les correctifs qui ont été immédiatement adressés aux divisions des examens des rectorats et répercutés dans les centres d'examen. Cet incident mineur sera évidemment sans aucune conséquence pour les candidats. Les correcteurs, comme habituellement dans ce type de situation sont informés et reçoivent des consignes adaptées pour la correction des copies. Entre les différentes séries et options du baccalauréat général et technologique, ce sont plus de 4 000 sujets qui sont proposés chaque année aux candidats et ce type d'incident reste exceptionnel : dans tous les cas, les correcteurs sont toujours avertis et les candidats ne sont jamais pénalisés."

samedi 6 juin 2009

REFORME DU LYCEE - RAPPORT DESCOINGS

Destinataires : presse, mouvement PEEP
La PEEP réagit à la publication du rapport de Richard Descoings sur la réforme du lycée.
Le communiqué est disponible en ligne à l'adresse suivante :
Cordialement,
La Fédération PEEP
89, bd Berthier
75017 PARIS
Tel. : 01 44 15 18 18
Fax : 01 47 66 33 02
http://www.peep.asso.fr/

dimanche 26 avril 2009

info attendue

Après des complications inattendues et rocambolesques, le compte bancaire de l'association vient enfin d'être ouvert le 25 avril, j'encaisserai les cotisations la semaine prochaine. La déclaration des adhérents a été faite dans les temps, avant le 24 avril. Je pourrai ainsi régler rapidement le fédération... Les cartes d'adhérents pourront ainsi être éditées et l'envoi de la Voix des parents se faire. Désolé pour le retard complètement indépendant de ma volonté.
L'année prochaine, ce sera beaucoup plus facile!